Publiée le : 8 avril 2019
L’ESTA a déposé un brevet concernant le malaxage des surfaces métalliques, un procédé qui permet de modifier la partie superficielle de certaines pièces. Cette invention a été développée par une équipe avec à sa tête Daniel SCHLEGEL, enseignant-chercheur, responsable de la filière industrie 4.0 au sein de l’ESTA.
L’ESTA a déposé un brevet concernant le malaxage des surfaces métalliques, un procédé qui permet de modifier la partie superficielle de certaines pièces. Le malaxage de ces surfaces les rend plus dures, plus résistantes à la corrosion plus compactes. Le brevet concerne un porte-outil qui permettra de réaliser ces opérations sur une machine-outil standard, telle qu’il s’en trouve dans toutes les industries mécaniques. Pour que le malaxage donne de bons résultats, il faut contrôler les vitesses de rotation et de déplacement d’un pion cylindrique, ainsi que l’effort appliqué sur ce pion. L'innovation réside dans la manière de réguler l'effort sur ce pion, à l'aide d'une chambre de gaz sous pression logée dans le porte-outil (aussi appelé mandrin). Ce système peut être embarqué dans n'importe quelle machine à commande numérique.
Cette invention a été développée par une équipe avec à sa tête Daniel SCHLEGEL, enseignant-chercheur, responsable de la filière industrie 4.0 au sein de l’ESTA.
Le brevet a été déposé au nom de l’ESTA, sous le numéro FR20170052860 20170403. Les inventeurs, outre Daniel Schlegel, sont Adriana Roman, Cécile Langlade et Eric Gete, tous enseignants-chercheurs à l’UTBM